Connais-toi toi-même pour que ta colère ne te dépasse pas, pour qu’elle ne trahisse pas ce que tu es. La colère doit être ton serviteur et non ton maître.
1 - La colère naît de la prise de conscience aiguë d’un besoin à satisfaire rapidement. La colère est légitime quand elle repose sur un besoin réel vital ou crucial. La route vers la réalisation de ce besoin étant barrée pour des raisons injustes.
2 - La colère prend la forme d’une émotion le plus souvent excessive. Cette forme, cette émotion, ne doit pas déteindre sur le fond qui est la poursuite d’un but bien précis. La colère a tendance à vouloir réclamer tous les arriérés d’une dette de la souffrance passée. Ses demandes abusives risquent alors de ne pas être entendue : « vous n’êtes pas raisonnable ! »
3 - La colère est impatience. « Cédez immédiatement à la totalité de ma requête tant que je suis en colère parce que je serai vite fatigué de ma colère et je vais retourner à mon état d’agneau ».
4 - La colère doit être efficiente : la colère ne doit pas être excessive : elle doit être ef-fi-cien-te !