@sweach Je comprend mal votre attaque vu que je traite simplement d’un sujet d’actualité, comme d’habitude sans prendre parti. Mais puisque vous lancez la balle, je la prend au bond...
« Voila pourquoi notre taux de fécondité chute sous la barre de 2. » Ben oui, et on ne rattrapera jamais le Nigeria...et encore moins la Chine. Il faudra se faire une raison. « Vous êtes quelqu’un de profondément égoïste et ne comprenez absolument rien à la liberté de la femme » : Je pense qu’on ne se connait pas, donc jugement de valeur sans fondement. La liberté de la femme étant justement d’enfanter ou non. Quand à mon supposé égoïsme, j’ai préféré ne pas mettre en route un petit être qui n’a rien demandé pour mon seul plaisir égoïste ou parce que c’est bien vu par la société, alors que l’occasion, la situation ou le partenaire ne s’y prêtaient pas. Je ne me suis pas fait stériliser pour autant. « Enfanter se fait à deux, que vous le vouliez ou non, un homme sera forcement impliqué » Et bien, justement : c’est une chose qui se décide à deux. Il va de soi que c’est un sujet dont deux personnes adultes discutent honnêtement (ou devraient) avant de s’engager ensemble. Pour rappel, l’homme se contente de planter la petite graine dans l’histoire. C’est madame qui se tape les 9 mois, l’accouchement, et la plupart des nuits difficiles qui suivent « Ce principe de solidarité s’applique à toute la nation, on appel ça la fraternité... » cet argumentation fonctionne pour les régimes totalitaires, qui ont surtout besoin de petits soldats et de femelles pour les enfanter, comme du temps d’Adolf. Je veux bien admettre que sous Macron, la notion de démocratie est plus que discutable, mais bon...« Répondre à des délires, ce n’est pas le rôle de science », en quoi la contraception ou la stérilisation est-elle un délire ? Le rôle de la science est justement de pouvoir nous différencier des animaux, notamment en nous apportant des solutions nous permettant de réguler selon notre convenance nos naissances ; En conclusion, il y en a qui veulent faire des enfants, et tant mieux si ils y parviennent malgré la baisse du taux de fertilité due aux nombreux perturbateurs endocriniens et produits chimiques. D’autres n’en veulent pas ou n’en veulent pas plus. Il y a parfaitement moyen de concilier les deux, sans aucun jugement de valeur...Ce que je ne comprend pas, justement, ce sont ceux qui portent des jugements sur ce que les autres font de leur corps (pareil pour l’euthanasie, l’avortement), sur seule base philosophique ou conviction religieuse. A moins que ce ne soit des peurs, des frustrations...Rien de factuel en tout cas la-dedans.... Cela ne les regarde tout simplement pas.