@baldis30 C’est fous comme mes lecteurs semblent me connaître comme leur poche. Bon, dans votre cas, votre affirmation est déguisée derrière une supposition. Pour votre gouverne, j’ai grandi entourée d’animaux (singe, antilope, perroquets, chiens (mon père élevait des dogues allemands), chats et plus récemment, caméléon...J’ai vécu plus particulièrement une belle histoire de 19 ans avec un chat merveilleux. Aucune de ces bêtes n’a été brutalisée, et toutes ont bénéficié des meilleurs soins. Je respecte aussi la nature, mais je ne met pas la carotte au niveau d’un humain. J’ai constaté pour beaucoup — sans généraliser bien sûr — que beaucoup d’animalistes sont constitués de femmes que la vie a peu gâtées en matière de relations inter-humaines et qui recherchent une compensation chez l’animal, qui a cet avantage indubitable de ne pas pouvoir répliquer ni vous larguer comme une vieille chaussette pour une plus jeune. Si j’ai personnellement souffert — et souffre encore — de l’ingratitude humaine, jamais il ne me viendrais à l’idée de compenser ce manque avec un animal. Un chien ne m’apportera jamais ce que pourrais m’apporter un compagnon humain convenable. En outre, les poils, les puces et l’odeur canine dans mon lit, beurk, non merci Blague à part, que l’on programme au sein d’un parti l’abolition des cruautés envers l’animal, pourquoi pas, mais créer un parti ne visant qu’à ça, nonobstant tous le reste (et tous le reste c’est quand même énorme), ça me laisse perplexe...