@Spartacus
’’Le système a été mis en place à partir des années 1980, aucune génération a cotisé pleinement a aujourd’hui.
Vous prenez les gens pour des couillons ? Ce système a été mis en place il y a 38 ans ! Ce n’est pas vous qui repreniez l’info selon laquelle le système devait soit disant garantir une super pension de 75% du salaire dès 18 ans de cotisations !
Dans toute ses blablaterie, José Piñera n’indique à aucun moment quel est le montant de la pension moyenne issue de sa réforme :
https://journaldeslibertes.fr/article/pour-un-systeme-de-retraite-qui-marche-la-reforme-chilienne/
C/C du très gôôôchiste site ’’la voix de la finance’’ :
’’Endormies par le concert de louanges, les autorités n’ont pas cherché à
relever le taux de cotisation de 10%. Pourtant, le moindre rendement
financier devait obliger à des cotisations accrues, sauf à affecter le
pouvoir d’achat des retraites. Le réveil est douloureux pour le citoyen
chilien qui partageait l’illusion d’un système optimal : il voit, près
de 40 ans après la réforme et alors qu’il a cotisé tout du long, la
médiocrité des retraites qu’on lui verse (de l’ordre de 250 € par mois
en moyenne dans le pays).’’
https://www.voxfi.fr/le-systeme-chilien-de-retraites-et-ce-quil-enseigne-sur-une-possible-reforme-francaise/
’’Ancien ouvrier de la construction, José Cuevas est « indigné ».
Comme plus de 90 % des Chiliens, il touche une pension de 220 euros par
mois, qui ne lui permet pas d’assurer son quotidien, alors que le
salaire minimum est de 367 euros. « Nous sommes à la charge de nos trois enfants », explique, le visage triste, son épouse, Clara, 72 ans. Le couple souhaiterait « un système plus juste, financé par l’Etat, l’employeur et l’employé ».’’
https://www.lemonde.fr/economie/article/2017/11/18/au-chili-les-inegalites-n-en-finissent-pas-de-se-creuser_5216845_3234.html
Sur 14 347 288 d’inscrits, Sébastian Pinéra a récolté 3 795 896 voix, un ras de marée !!!!!!!
Par un curieux hasard, les militaires chiliens ne sont pas cotisants à un fonds de pension :
’’Il
a fallu alors quatre longues réunions entre Piñera et la junte
militaire pour que celle-ci donne le feu vert à la réforme sous une
condition : que les forces armées restent dans l’ancien système. La
raison est simple : les militaires veulent se protéger contre cette
expérience néolibérale et éviter qu’elle n’affecte leurs retraités.’’
https://www.investigaction.net/fr/au-chili-la-revolte-face-a-la-privatisation-des-pensions-de-retraites/