Une des racines politiques principales de l’antisémitisme,
c’est la relation entre les politiques et les institutions juives. Il y en a évidemment
beaucoup d’autres, mais celle-ci est importante et curieusement très peu
commentée.
Nous sommes, suivant la loi, dans une République laïque
régie par la loi de 1905, que chaque homme politique prétend, bien sûr, accommoder
à sa sauce. Ceci évidemment pour des raisons électoralistes (il s’agit de
chercher bénéficier de l’avis électoral favorable des institutions juives)
Il est inacceptable et scandaleux que le président de la
République et l’exécutif, en grand aréopage s’y prêtent officiellement et participent ainsi au dîner du CRIF et viennent
même y faire des discours.
Ils viennent là clairement rendre compte – devant une
religion - de la gestion de la
République à son profit.
L’exécutif vient ici larmoyer et faire allégeance à ce
pouvoir occulte qu’exerce « la communauté juive ». Ils viennent lui rendre compte
de leur gestion des affaires, ce qu’au passage il refuse de faire devant le
peuple Français, pourtant souverain.
Cela consacre bien au plus haut niveau l’exceptionnalité de
cette religion par rapport aux lois de la République et c’est inacceptable. C’est
également la démonstration du poids particulier de cette religion et de l’Etat
juif dans notre République.
Cela témoigne d’un entrisme total dans la politique
française de l’Etat juif en France, déjà infiltré à tous les niveaux déjà par
les « sayanims », dans l’économie par une surreprésentation de
dirigeants d’entreprises sans rapport avec le poids sociologique de cette
religion dans la population, la double nationalité de nombreux députés, sans
même parler des animateurs médiatiques…
En outre, Cet exécutif veut « en même temps » mettre au pas les consciences et les orienter, en
amalgamant « antisémitisme » et « Gilet Jaunes », « antisémitisme » et « sionisme »
pour créer la confusion, limiter la contestation et favoriser l’Etat juif.
C’est une manœuvre. Il est à souhaiter que le peuple,
réveillé et conscient, rende cette démarche
vaine, et même contre-productive.
Pour combattre l’antisémitisme, ce qu’il faut véritablement
combattre, c’est le racisme, tous les racismes, mais aussi l’entrisme politique,
et cela semble perdu (cf. la consternante attitude de soumission au CRIF d’E.
Macron à l’issue de son discours).