@julius 1ER
La solution de « Habana ? je ne sais pas, mais moi je choisirai la solution LePen !
Pourquoi ?
Oh, c’est bien simple, ce n’est pas culturel, raciste ou quoi que ce soit d’autre, c’est simplement le probleme de l’oeil dans le potage.
Se poser la question de la goutte d’huile qui flotte dans la soupe, c’est penser que la soupe n’est pas ce qu’on désire et qu’on préfère la goutte d’huile.
Etre la goutte d’huile pour ne pas finir comme une eclaboussure dans le lac pollué, c’est maitriser tout ce qui fait ta propre identité et tout ce qui va avec...
Ouvrir les frontières, délocaliser, ne plus maitriser son economie, accepter les lois des autres -surtout en terme d’economie- et surtout le »vivre-*ensemble", c’est appartenir au potage... se fondre dans la mediocrité aussi bien pour soi que pour ses enfants et naturellement ses parents... dont on se debarrasse dans les creches et les EHPADs, ces derniers n’etant que l’ultime concept de la delocalisation.
Plus la retraite des vieux est importante, plus ils seront soignés convenablement... et plus les actifs gagneront d’argent plus ils pourront payer leur propre santé, leurs assurances, leurs retraites (repartie ou capitalisée) plus l’economie sera bonne et plus l’etat aura d’argent a travers les impots pour ameliorer les conditions d’existences de tous.
Ce n’est pas en important des immigres que les retraites seront payées mais exactement le contraire... pas plus qu’en augmentant les impots d’ailleurs pour payer les EHPADs mais en augmentant les salaires et cela ne peut se faire dans la soupe a cause de 1 milliard d’indien, 1,5 milliard de chinois, et demain les 2 milliards d’africain.... tous appartenant au potage.
Il faut nous proteger et nous elever, quoi de mieux que developper notre avenir en soignant et protegeant ceux qui nous ont permis d’etre une civilisation (occidentale) ((copiée et enviée de tous surtout attaquée par tous)) : nos anciens.
Allez zou, reflechissez deux secondes, Cuba ou ailleurs, a part le climat, c’est en France qu’on doit etre, et j’ai s’autant plus le mérite de le dire que je ne peux pas y etre tout le temps.