Très bon article, ce qui est tout aussi inquiétant est la tournure que prend le TPI qui c’est instituer un droit juridique extraterritorial pour jugé des responsables politiques qui ont décrétés comme étant des criminels de guerre, bien entendue à par la ex dirigeant de Yougoslavie Slobodan Milošević, (le Tribunal pénal international pour la Yougoslavie (TPIY) a reconnu en
mars 2016 que Slobodan Milosevic n’avait pas participé au projet
d’épuration ethnique en Croatie et en Bosnie et qu’il s’y était même opposé )
https://www.breizh-info.com/2016/08/23/48273/la-haye-sloboban-milosevic-innocente-la-presse-subventionnee-fait-silence
il y a aucun actuellement de responsable politique occidentaux qui sont traînes devant se tribunal, par contre c’est pas le cas de l’Afrique.
( Crée en 1998 par l’adoption du statut de Rome, la CPI est la première et
la seule juridiction permanente et universelle, contrairement à
d’autres cours mises en place pour juger des crimes particuliers, comme
le tribunal de Nuremberg ou le Tribunal pénal international pour
l’ex-Yougoslavie (TPIY). 122 pays sur 193 y ont adhéré. Mais malgré
cette universalité de principe, sur les dix affaires actuellement
instruites par la Cour, neuf sont africaines :
l’Ouganda, la République démocratique du Congo, la république de
Centrafrique deux fois, le Darfour, le Kenya, la Libye, le Mali et la
Côte d’Ivoire. Les dirigeants africains donc reprochent le « deux-poids,
deux mesures » d’une cour « néocolonialiste ». Ainsi récemment, la Gambie
avait demandé à la CPI de poursuivre les pays occidentaux pour la mort
de milliers de migrants en Méditerranée. )
http://www.lefigaro.fr/international/2016/10/26/01003-20161026ARTFIG00200-pourquoi-des-etats-africains-se-retirent-la-cour-penale-internationale.php
De ces faits ils évident que cette intelligentzia du droit d’ingérence humanitaire devront tous où tard rendre des comptes à la communauté international si on a la volonté de sortir de ses deux-poids, deux mesures est un véritable désastre civilisationnel.