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Commentaire de Étirév

sur Concurrence des catastrophismes : climat versus nucléaire


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Étirév 22 mars 2019 10:07

« comme si le risque climatique est utilisé pour faire écran au risque nucléaire…. »

Tentons un éclairage sur les phénomènes atmosphériques afin de démêler quelques nœuds et sortir du dédale d’explications scientifiques, et surtout pseudo-scientifiques.
On observe dans la nature deux espèces de mouvements : des mouvements « spontanés » et des mouvements « transmis ».
Cette seconde cause de mouvement engendre des déplacements qui déterminent la plupart des phénomènes météorologiques en dérangeant la stabilité de l’enveloppe gazeuse de la terre.
Nous voyons que c’est cette cause qui détermine la chute des corps à la surface terrestre. Mais cette réaction constante de l’azote vers la terre, qui lui a pris sa place dans l’espace, n’est pas la seule réaction qu’il exerce. Il tend aussi à se dilater dans une autre direction, c’est-à-dire vers les régions célestes de l’infini.
De ce côté il est contenu par l’action dynamique des radiations qui le frappent incessamment.
Mais les radiations ne sont ni immuables ni éternelles, elles sont, au contraire, dans un état constant de variabilité. Or, chacun des changements qui surviennent dans leur mode d’action se traduit, dans les profondeurs de notre atmosphère, par un changement d’état de la réaction de l’azote. Si la pression des radiations devient moins forte, l’azote se dilate ; tous les corps qu’il comprimait se dilatent aussi : c’est la chaleur. Si la pression devient plus forte l’azote augmente sa réaction vers la terre, il comprime plus fortement les corps qui en occupe la surface : c’est le froid.
Si la pression en plus ou en moins est accidentelle, si elle n’intéresse qu’un seul point de l’atmosphère, il en résulte un changement de densité qui, en se propageant aux couches les plus voisines y détermine « un courant ». C’est le vent.
Si un seul faisceau de radiation vient à manquer subitement, c’est un vide subit qui est offert au besoin d’expansion de l’azote et dans lequel il se précipite en tournoyant : c’est une trombe, une tornade, un cyclone. Le mouvement commencé dans les régions élevées de l’atmosphère se propage de haut en bas. Lorsqu’il atteint la surface terrestre, le bouleversement des éléments atmosphériques, qui en résulte, détermine toutes sortes de ravages.
Ainsi donc tout ce qui se passe sur la terre à une cause cosmique ; tout dépend de l’action des astres. C’est dans les profondeurs de l’océan céleste qu’il faut aller chercher la cause de la plus légère brise qui souffle autour de nous. La terre y est étrangère.

Météorologie et Cosmogonie


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