Mouais, un peu conventionnel voir réac comme article, sous couvert d’attention aux enfants.
Dans la société agraire les enfants étaient élevés comme reproduction de petits de mammifères, mais ce n’est plus le cas dans la société actuelle.
Il y avait des « déterminismes » sociaux qui oeuvraient dès la naissance quasiment et qui étaient reconnaissable chez le voisin qui vivait pareillement.
Ce n’est plus le cas aujourd’hui et la libération de l’enfant, très bonne chose en soi, n’a été perçue et saisie que par les puissances commerciales qui ont vu rapidement le profit qu’ils pouvaient en tirer par un nouveau « continent » de clients à satisfaire.
Mais la parentalité n’a pas suivi, la « mission » parentale dans sa compréhension de l’enfant n’a pas évoluée et se prend les pieds dans le tapis car les enfants eux comprennent bien plus vite le monde dans lequel ils vivent et les avantages, de court terme, qu’ils peuvent en tirer.
Les images, père/mère, sont caduques sauf si elle sont vraiment des « tuteurs » de développement, là où la pseudo autorité parentale, du fait procréateur, n’a plus lieu d’être.
Un enfant qui se sait soutenu et respecté justement vous reconnaîtra comme valeur car il a besoin d’évoluer et de se connaître pour devenir ce qu’il est.
Il ne suffit plus de pondre des enfants pour être des parents, dans la société aux horizons de plus en plus vaste l’enfant à besoin de comprendre, compréhension progressive qui lui serait apportée par de vrais adultes.
Car au delà du déficit parental, c’est surtout à un déficit d’adultes libres, autonomes et responsables que nous avons à faire face et pas seulement pour l’éducation des enfants.
Quand les parents seront de vrais adultes alors il y aura moins de soucis à l’école, mais on en prend pas le chemin, certes...