II- Accident électrique ?Hypothèse convenue mais probablement inopérante
En tant qu’architecte en chef des Monuments historiques, M.Benjamin
Mouton, qui a été en charge de la cathédrale Notre-Dame de 2000 à 2013,
pour laquelle il a piloté le lourd chantier de la détection incendie,
mérite d’être entendu.
En 40 ans d’expérience, dit-il, je n’ai jamais connu un incendie de la sorte", affirme celui qui estime que la protection incendie mise en place dans la cathédrale était à son plus haut niveau.
"Lorsque je me suis occupé de la détection incendie, qui a été un
dispositif très onéreux, il fallait très peu de minutes pour qu’un agent
aille faire la levée de doute, nous avons fait remplacer de nombreuses
portes en bois par des portes coupe-feu, nous avons limité tous les
appareils électriques, qui étaient interdits dans les combles", affirme-t-il auprès de Batiactu.
« Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre. Le chêne est un bois particulièrement résistant. »
Un expert du secteur de la construction confie également son incompréhension auprès de Batiactu (site d’information des professionnels du BTP) : « L’incendie n’a pas pu partir d’un court circuit, d’un simple incident ponctuel. Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre. Le chêne est un bois particulièrement résistant. »
https://www.batiactu.com/edito/notre-dame-apres-incendie-rien-n-est-fini-selon-ex-56147.php
« Par ailleurs, la question de la responsabilité des travaux, qui
fragilisent les structures et ouvrent la porte aux risques d’incendies,
ici aussi, tourne court – puisqu’ils n’avaient pas encore débuté. Ils
étaient en cours de préparation, les échafaudages étaient montés. »
https://russiepolitics.blogspot.com/2019/04/notre-dame-des-interrogations-quant-la.html?fbclid=IwAR0p69H3dshe8AcpfJeA8LisNbIqzoHCmpMlbWuNyk1Ak5tCTbJO04g75rs
Comment se fait-il que cette vidéo ne soit plus accessible ?
https://www.francetvinfo.fr/culture/patrimoine/incendie-de-notre-dame-de-paris/notre-dame-de-paris-balade-interdite-images-epoustouflantes_3404745.html
La « thèse de l’accident involontaire » peut toujours être privilégiée... mais
elle ne saurait pour autant écarter d’emblée celle de "l’accident
volontaire", bien gênante pour certains car elle ouvrirait alors
d’autres perspectives et des questions simples du
genre : Qui ?Comment ?Pourquoi ?Toutes sortes d’interrogations - on l’a
bien compris -, auxquelles une opinion publique attentive pourrait bien
se proposer de fournir des réponses au regard d’un contexte général
plutôt tendu.
On ajoutera que la physique pourrait bien rappeler
l’existence de lois difficilement compatibles avec la pensée officielle
du « circulez, il n’y a rien à penser ! »
http://comite-valmy.org/spip.php?article11138
Le mystère sur les causes de l’incendie resterait-il donc entier ?
La réponse ne peut qu’être négative car il devient chaque jour
plus urgent d’identifier Fantômas, lequel pourrait bien avoir utilisé un
dispositif d’une efficacité certaine et particulièrement...imparable.
Suite : cinquième partie