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Commentaire de coyotebreton

sur EUROPEENNES 2019 : Référendum pour le VOTE BLANC


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coyotebreton coyotebreton 11 mai 2019 07:42

Pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté je me dois d’affirmer que je suis un militant convaincu de l’Europe depuis les années 60. Cela en ajoutant que je me suis déclaré et le reste, dès le début, pour une Europe sociale en opposition à celle « des marchands et de la financiarisation qui s’est imposée ».

Pour tenter d’inverser les tendances, j’ai ainsi proposé, en 1993, à tous les responsables et partis politiques, aux syndicats, l’économie étant mondialisée l’organisation d’un Symposium international : " Les Etats généreux de la solidarité ". Cela, sans avoir de leur part, quelque écho que ce soit,

En 2004 j’ai fait état de mon désaccord concernant l’élargissement, automatique, de l’Europe à 10 nouveaux Pays. Cela au lieu de les mettre dans une « nursery et de les faire évoluer positivement sur le plan économique et social ». Ils servent, depuis, de « réservoir de main d’œuvre à bon marché » dont les conséquences se font sentir chaque jour pour l’économie de notre Pays. 

En 2005 j’ai dénoncé la remise en cause - atteinte portée à la Démocratie - après son résultat négatif, du référendum con-cernant le projet et son adoption lors du Congrès de Versailles, du traité de Lisbonne.

En 2015, militant pour le respect des Territoires, des Identités, des Langues qui font la richesse de la France, j’ai regretté un nouveau méfait du jacobinisme-centralisateur, dénoncé en son temps par le président Chirac, avec l’inique réforme territoriale inique de la finistérienne Marilyse Lebranchu. Le président Macron, appartenait au gouvernement.

En 2019 je n’ai pas accepté la décision prise pour le prochain scrutin européen, de créer des « listes nationales » qui nient, toujours dans le même esprit jacobin, les Territoires, les Identités, les Langues… Une volonté aux antipodes de l’engagement annoncé, par le même Emmanuel Macron devenu président, de « réformes girondines ».

Malgré tout ce qui est énoncé, si je considère qu’il est indispensable de redonner vitalité à l’Europe, je ne peux oublier que ce sont nos représentants, en qui les Français n’ont plus confiance, qui en auront la charge ? 

Il m’est difficile d’avoir entendu dernièrement les « citoyens » dire qu’ils voulaient être respectés et entendus" ( j’aime mieux être écoutés) et de lire aujourd’hui certains commentaires.


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