@arthes
jésus, Christ où pas Christ ?
Je trouve arthés plutôt très très christique, si, si..., à la lire, oui, oui...
je kiffe une certaines osmose spirituelle entre nous, et c’est bonheur de te croiser 
Comment le Verbe aurait il pu se manifester aux hommes autrement^ que
dans un être de chair disposé pour cela,...
C’est le sort (difficile, très difficile) des prophètes, et si l’on examine le peu de ce que l’on sait sur eux, l’un ou l’autre n’étaient pas particulièrement prédisposés ni vraiment volontaires, ni prêts à cela, ni Abraham, ni Moïse, ni Job, ni Amos, ni le caravanier Mahomet, d’assumer de porter le Verbe, d’en être le porte-voix, le héraut
Chose pas facile que d’aller à contre sens du poil, des traditions, des mœurs, des croyances de son époque,... on est d’accord.
Là seule différence avec Jésus pourrait être qu’il semblerait pour le peu que l’on en sache que Dieu n’est pas venu le chercher par le col de la chemise ou le fond du pantalon pour aller prêcher le Verbe en faire un prophète malgré lui, mais qu’il le fit de lui-même, ce qui fut son Exploit...
et en plus, lorsqu’on songe au
sacrifice...
Là je t’arrête ma très chère arthes, c’est une interprétation tardive et très douteuse d’Isaïe, il s’est donné en sacrifice, il est mort pour nous (Paul de Tarde), pauvre de nous qui dans les générations qui suivirent n’y pouvons rien) ... et patin couffin. On peut tout aussi bien croire qu’il s’est fait simplement occire parce qu’il dérangeait la Landerneau des bien-pensants de l’époque.