@Michel DROUET
Puisque Rakotoarison reviens toujours avec les mêmes délires, Je ne peux que remettre un commentaire déjà posté, en le complétant un peu :
L’auteur commence à nous les briser menu avec ses articles larmoyants sur le cas de Vincent Humbert.
Ce
malheureux Vincent est torturé, depuis plusieurs années par des parents sectaires, tortionnaires et incapables de la moindre parcelle de pitié.
En fait, c’est une petite minorité de la parenté de Vincent, son père, un frère, une sœur, qui le torture depuis plus de 10 ans.
La majorité de sa famille proche, son épouse, 6 frères et sœurs et un neveu, souhaite que l’on mette fin à ses souffrances.
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Je
ne peux que faire le rapprochement avec le cas d’un autre Vincent,
Vincent Humbert, j’extrais ici une partie de l’article qui lui est
consacré sur wikipédia :
"...Vincent Humbert (3 février 1981 —
26 septembre 2003) est un jeune homme devenu tétraplégique, aveugle et
muet, après un grave accident de la route. Son affaire a soulevé de
nombreux commentaires face à son désir de mourir, l’euthanasie étant
interdite en France.
Après un grave accident de la route, le 24 septembre 2000,
Vincent Humbert qui ne supportait plus cette vie sans espoir de
guérison, entreprend de nombreuses démarches pour obtenir le droit
d’être euthanasié. Il écrit au président de la République d’alors,
Jacques Chirac, auquel il demande en vain un « droit de mourir ». Le 24
septembre 2003,
la mère du jeune homme, Marie Humbert, provoque le décès de son fils
avec l’aide d’un médecin. L’affaire se conclut par un non-lieu en
février 2006...."
Vincent Humbert a eu la chance, dans son malheur, d’avoir une mère aimante et un médecin digne de ce nom.
Malheureusement, Vincent Lambert à la double malchance d’être
totalement détruit par un accident et d’avoir des parents tortionnaires
au nom de je ne sais quelle idéologie moyenâgeuse. J’espère vivement
qu’il n’a pas la malchance supplémentaire d’être conscient et enfermé
dans son corps, supportant toute l’ignominie du supplice qui lui est
infligé.
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Je le répète, les parents de Vincent sont de parfaits salauds,
insensibles à la souffrance des autres, cela au nom d’une idéologie
moyenâgeuse.