@pemile
Ce n’est pas le tracé qui est compliqué, effectivement, c’est juste l’interaction entre le tracé, qui peut etre un fichier parfaitement numérisé et :
— le calcul de la position « actuelle », avec altitude et cap
— l’analyse et la déviation par rapport au calcul de base, la trajectoire prévue et la cible a a atteindre*
— la déviation due a divers phénomènes... propulsion, divers capteurs, horloges, et capteur GPS
Rien que ça, cela est tout automatique mais ne se fait pas si simplement et démonter des smartphones pour récupérer les composants, ou même, installer ces téléphones a bord du drone, ne garanti en rien le fonctionnement sans défaut du drone... et je ne parle pas du controle du moteur lui même qui varie selon le vent, la temperature, l’altitude avec les outils de décisions qui s’y ratachent pour assurer le voyage.
J’insiste, pour avoir diriger quelques ingenieurs dans ces environnement que bonne volonté, débrouilardise et récupération sont bons pour des tondeuses a gazon et pas pour un drone devant faire 2000 km en automatique avec les equiments qu’il contient et atteidre sa cible avec une précision d’une cinquantaine de metres pour etre éfficace (0,000025%)