Bonjour
Pas de problème, l’australopithèque était vegame, il se nourrissait de cueillette de petits animaux, d’insectes et de charogne
Nous pouvons donc parfaitement vivre sans tuer des animaux. Alors pourquoi y sommes nous arriver avec l’apparition de l’homo habilis.
Nous imaginons cela à partir des vestiges retrouvés silex taillé pour gratter les peaux, tailler, découper, arcs, lances.
Cela fait quelques millions d’années que l’homme à une nourriture carné.
Cela indique seulement que le biotope dans lequel vivaient ces hommes avaient changé. Il s’était dégradé. C’est à dire ne permettait plus de vivre de la cueillette là où l’homme vivait parce que son environnement s’était appauvri, (modification climatique) ou parce que l’homme c’est déplacé vers des régions moins hospitalières, d’où le besoin de peaux pour se couvrir et s’abriter retiré de la chasse pour se nourrir.
Si je conçois votre combat il ne justifie pas les violences, vous n’êtes pas en charge de la vie animale, même si elle repose sur l’empathie à la souffrance.
La chaine alimentaire repose sur la prédation du vivant entre lui , cela dépasse votre seule vision speciste de la vie.
Il y a bien longtemps que vous avez été précède par une secte indienne qui protège la vie jusqu’au microbe. Eux qui sont nos prédateurs invisibles, chez qui ne trouvant pas de vie semblable à la nôtre nous n’avons pas d’état d’âme à les détruire, leur refusant même la capacité d’adaptation au risque, la jugeant indécente. Nous savons que les plantes communiquent entre elle qu’elle réagissent à la musique et au touché. Les végétaux n’ont pas d’yeux ou de voix ou nous pouvons entendre la souffrance. Quand nous voyons la sève sortir d’un Érable pour faire du sirop, point de plainte de l’arbre.
La sève est elle différente du sang. Elle véhicule ses maladies comme pour nous.
I
Cela n’enlève rien à ta cause, juste pour te faire toucher du doigt ton combat psychologique speciste qui sélectionné aussi qui doit vivre ou mourir.
Mangerais des produit vegan s’ils pleuraient ou criaient leur souffrance quand ont les cueillent.
Continuer ton combat n’est pas inutile, mais comme je tenais écrit pour les homme préhistorique c’est la nécessité qui nous poussera à changer de pratiques plus que la conscience humaine.
Cordialement ddacoudre OverBlog