Pour prendre un peu de recul sur cette affaire ;
« Il y a vingt ans, on observait beaucoup plus
de feux qu’aujourd’hui. Vingt mille kilomètres carrés brûlaient en moyenne
chaque année. […] dixit Martine DROULERS, géographe, chercheuse émérite au
CNRS, responsable de l’équipe « Brésil » au Centre de recherche et de
documentation sur l’Amérique Latine (CREDAL). « La tendance était
toutefois à la baisse depuis dix ans, avant que le nombre de feux n’augmente de
nouveau depuis deux ans. Les incendies qui ravagent l’Amazonie aujourd’hui constituent
une alerte qui appelle à la vigilance, mais il est important de rappeler que
ces feux sont tout sauf nouveaux et que beaucoup d’entre eux sont des
opérations de nettoyage de zones déjà déboisées ».
Ces propos sur ces feux de forêts actuels seraient ils entretenus pour créer encore une pseudo crise dans le
cadre plus général de l’idéologie climato-politique dominante, et déjà relayée
par le mouvement de Greta Thunberg.
Par les temps qui courent il faut savoir prendre du recul et
relativiser, face à l’avalanche d’informations volontairement catastrophiques
divulguées par les la presse mainstream et certaines ONG qui virent
indubitablement vers l’intégrisme climatique.