@Sozenz
Bonjour ZenZoe,
Merci pour votre commentaire.
Les petits conflits quotidiens apparaîtront peut-être, mais seront
résolus beaucoup plus facilement que dans une copropriété traditionnelle
parce que le dialogue avec l’ensemble des membres permet de confronter
les personnes entre elles si un problème naît.
Dans l’ensemble, ce qu’il ressort des témoignages de résidents d’habitats
participatifs, est positif. Ils y sont bien et retourner vivre dans un habitat « classique » ne leur effleure même pas l’esprit. Serait-ce le cas si les valeurs ne perduraient pas ?
L’individualisme des Français... C’est un frein évident, relaté dans l’article.
Dans le cas de l’habitat participatif, la cohésion du groupe est très
développée et le risque de conflit est marginal.
Les questions d’argent sont parfaitement encadrées, ce n’est pas un sujet
laissé au hasard. Vous ne payez pas quand bon vous semble les charges de
la communauté, mais selon un échéancier classique, tous les mois, comme
pour n’importe quel logement d’ailleurs.
Après ce mode de vie avec des liens forts entre voisins peut ne pas
convenir à certaines personnes préférant vivre recluses ou presque.
L’aventure peut valoir le coup effectivement. L’objet de l’article est
de faire connaître le concept auprès d’un public plus large.
Chacun est libre d’adhérer ou pas. Mais c’est une piste d’autant plus intéressante qu’elle fonctionne à merveille chez nos voisins, dont la Suisse qui n’est pas non plus un club de babas cools !