Greta Thunberg disitille la peur avec la très contestable théorie du réchauffement climatique, auprès des populations les plus réceptives à la manipulation des medias. Derrière elle, de gros consortium poussent cette pauvre jeune fille fragile vers les caméras, les sunlight, les micros, la foule, etc. ce qui lorsque l’on a 15 ans peut paraître exhaltant.

Mais, le jour où les sunlight s’éteindront définitivement sur son visage sans joie, que restera-t-il de cette jeune adolescente à qui l’on aura offert une célébrité facile et à qui l’on aura fait croire qu’elle possédait un pouvoir de persuasion ou un don de divination, alors qu’il n’en est rien, juste rameuter les foules par une communication bien rodée par les think tank qui la manipulent.

La séquence à l’ONU où elle rentre littéralement dans une phase hystérique avec larmes et rictus déchirants à l’appui, ne me dit rien qui vaille pour son avenir et sa santé.

Mais les adultes qui sont derrière elle, eux, sont tout à fait méprisables de s’en servir à ce point. Prêts à tout pourvu que le projet aboutisse. Et que des citoyens sensés réfléchir ne se rendent compte de rien — ni du projet de green business qui va enrichir toute une frange de privilégiés, déjà sur le pied de guerre financier pour alimenter la nouvelle bulle,et en tirer un maximum de profit, ni que cette bulle est destinée à lever un nouvel impôt mondial — sont d’une inconscience crasse. Plus méprisables encore, les politicards qui attrapent au vol cette mascarade verdâtre pour se constituer un vivier électoral sous prétexte environnemental.

Cette jeune fille me fait de la peine, comme font de la peine tous les enfants, qui à travers l’histoire de l’humanité ont servi de porte-drapeau aux plus infâmes dictateurs et aux thèses les plus délirantes.