@Sergeant Pepper
Vous dites quelque chose de très intéressant : « le GIEC est un compilateur de milliers d’études. Il n’entreprend aucune recherches ».
Donc, si je vous suis bien, à partir d’une simple compilation d’études, (où, quand, comment ?) de milliers d’études, d’aucune recherches entreprises, le GIEC c’est la Sainte-parole absolue, c’est la bible vivante des défenseurs de la thèse du réchauffement climatique d’origine anthropique. Et donc, à ce titre, sans résultats probants de recherches non entreprises, jamais validées, donc, nous devons avaler de force leur théorie ?
Si je pousse un peu le raisonnement, en quel honneur les opposants seraient-ils privés du droit d’apporter leur veto scientifique à cette théorie ?
J’ai la certitude par contre que toute opposition est interdite désormais en Occident à la thèse développée — thèse est un bien grand mot pompeux — qui, s’apparente plutôt pour reprendre une métaphore médicale, à une « confluence de bacilles ».
Si nous sommes bien dans le seul domaine des sciences, toute contradiction doit être acceptée. Or, nous en sommes loin de la part du GIEC, des médias, des mouvements écologistes radicaux, et même du corps enseignant qui devient le relais très propagandiste de cette théorie. C’est je le répète, IRRECEVABLE.
Ce n’est pas Greta qui est horripilante, la pauvre, mais tout le programme qui l’entoure, toute la mise en scène, et même plus, toute la « violence » de cette mise en scène dont cette pauvre jeune fille, au fond est la première victime. Il y en aura bien d’autres, malheureusement. Parce que les rouages d e la propagande en Occident, sont parfaitement huilés, et peuvent mener au pire, comme le fut la petite fiole de soit-disant antrax du sieur Powell avant d’aller canarder l’Irak, où tout un peuple, toute une jeunesse déboussolée l’ont suivi dans ces funestes projets. Greta, c’est la femme sandwich d’une théorie peut-être encore plus féroce dans ses recoins, n’oublions pas que derrière il y est prévu, un impôt mondial. en fait, la privatisation du droit de respirer et d’émettre le CO2, un réflex de vie tout à fait naturel mais que des théoriciens érigent en anomalie dans un formalisme totalitaire.