@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Bonjour, le piège, c’est que certains gilets jaunes emmenés par leurs faux-leaders infiltrés dans le mouvement, se soient convertis en « carbocentristes », tout ce qui va à l’encontre des intérêts de leur mobilisation. Mais dans l’ensemble, les gilets jaunes restent très critiques envers ce qu’ils ont bien ressenti comme une vaste opération médiatique par la ploutocratie. Dès que les medias s’emballent pour tel ou tel sujet, c’est que forcément il y a un intérêt ploutocratique quelque part, dont le peuple est écarté bien entendu. D’autant que Greta, si l’on veut bien consentir à voir autre chose que ses mimiques nous raconte la fable de la décroissance, et pour mieux marquer les esprits, nous dit : « Je veux que vous ayez peur ». Mais qui es-tu, toi petite Greta pour donner au peuple de telles injonctions punitives et fouettardes ?
Parle-t-elle en termes posés et calmement de la nature qui se meurt sous les coups de boutoirs des grands industriels, les Bayer et Monsanto, etc. de l’agriculture qui ne dépend plus que des produits toxiques des grands fournisseurs de poisons pour les espèces vivantes, en général ?
L’avez-vous entendue prononcer le nom de vrais responsables ? L’avez-vous entendue les désigner de sa vindicte ? Non ! Pas un mot sur eux. Greta n’est là que pour nous annoncer l’apocalypse, d’un ton particulièrement virulent, comme une pythie antique. Mais ce genre de spectacle théâtral, non, ne peut pas passer. Parce qu’ en réalité, ses propos cachent le projet mortifère de réduction de la population, comme si donner la vie aujourd’hui sur notre planète et multiplier d’autant le nombre d’habitants devait obligatoirement criminaliser l’être humain. Il n’y a rien d’humaniste dans ces propos, tout bonnement un thèse malsaine, échafaudée sur le terreau de la peur, de l’angoisse, et de malaise social en prenant comme dénominateur commun, les énergies fossiles, leur épuisement. En gros, que nous dit Greta ? Que les énergies fossiles et leur renouvellement sont plus précieux que la vie humaine, elle même ? Et c’est sur cette peur que surfent les ploutocrates. Comme la peur s’instrumentalise plus facilement chez les jeunes encore plus vulnérables que les vielles carnes que nous sommes, parce que leur jeunes années ne leur ont pas encore fait voir la réalité de la vie, eh bien, c’est un personnage comme elle, idéal, en fait qui a été choisi comme meneur. Car il en fallait bien un,il en fallait bien une.
Ce sont les mêmes méthodes qui ont été employées envers la jeunesse des pays européens, depuis 1910 jusqu’en 14, en Allemagne, en France,puis plus tard, méthodes de propagande instillant la peur réciproque des uns et des autres, qui ont donné deux guerres fratricides, ne l’oublions pas, deux guerres mondiales. Et je ne peux pas m’empêcher d’y voir derrière toujours les mêmes sordides, hier comme aujourd’hui.