@Ilan Tavor aka Massada
Bonjour et merci pour votre commentaire.
En France les services de sécurité sont une passoire dans la mesure où personne ne comprend réellement la nécessité, par moments et lors de certaines occasions, de se prêter volontairement à l’exercice d’une mission de sécurité et de service public. La faute en revient principalement aux Autorités qui imposent sans expliquer, suscitant incompréhension ou réactions de rejet. Faire patrouiller les soldats par groupes de trois est inutile et dangereux. Inutile parce qu’un criminel ou terroriste commencerait par éliminer facilement la cible armée pour perpétrer tranquillement son attentat sans être gêné. Dangereux car de l’avis-même des soldats, ceux-ci ne pourraient sérieusement ouvrir le feu sans risquer de blesser ou tuer les citoyens qu’ils ont la charge de protéger ou tranquilliser.
La solution est ailleurs mais aussi sous nos yeux.
Plutôt que de désarmer les citoyens honnêtes https://www.contrepoints.org/2018/10/02/326456-comment-letat-compte-desarmer-detenteurs-darmes-a-feu
et de laisser les hors-la-loi disposer d’armes pour lesquelles les autorisations de détention ou les permis d’utilisation n’existent pas, il serait beaucoup plus intelligent et efficace de faire comme en Israël en armant une population utile, soigneusement choisie https://fr.timesofisrael.com/israel-assouplit-la-loi-sur-le-port-darmes-et-rend-eligible-une-foule-de-civils/.
La législation serait telle qu’elle proscrirait aux populations connues pour leur criminalité avérée ou potentielle (installées et/ou immigrée, et/ou réfugiées, arabo ou africano musulmanes, balkaniques, proche ou moyen-orientale) le port et la détention de couteaux, poinçons etc. ou de toutes armes à feu.
Un Etat doit faire confiance à ses concitoyens, les protéger et leur permettre de se protéger utilement, avec discernement, dans le respect d’une législation soucieuse de leur assurer constitutionnellement en faisant état d’une légitime défense privilégiant la victime et non l’agresseur, la sûreté comme la protection des biens comme des personnes.
Bien à vous,
Renauud Bouchard