Déjà en 2008, et ce n’était pas du Mélenchon dans le texte :
https://amlatineterecuerdo.blogspot.com/2008/08/mais-il-va-fermer-sa-gueule-le-paolo.html
(extrait) Les ex-mao jusqu’au boutiste, fils à papa des 70s qui poussaient à peu
de frais les masses laborieuses et paysannes du campo au radicalisme
débile et brouillon, à la prise de risque la plus stérile, aveugle et
volatile, ces parangons oppressifs et moraux, ces anciens guérilleros
intransigeants (car ce Paranagua l’a été, guérillero en Amérique latine !
Oui Monsieur !), qui expient leurs propres fautes, LEURS comportements
violents et erratiques, et LEURS graves abus commis il y a quelques
décennies, sur le dos de processus d’émancipation actuels, de gauche, mais civils, qui n’ont RIEN à voir avec leurs propres écueils.
Ces gens-là n’ont jamais fait de mea culpa sur leur culte Stal ou
Mao...Ils préfèrent tirer à tout va sur la gauche, désormais. Pareil en
littérature ou « Essayisme » : des « itinéraires Vargas Llosa » en France,
Sollers, Bruckner, Glucksman, il y en a un paquet...
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Oui, Mélenchon a une grande G... mais on ne prête qu’aux riches, ; or dans le domaine politique et son histoire je pense qu’il ne craint pas grand monde sur le plan de la richesse des sources. Une seule chose m’inquiète, sa fuite en avant merdiatique qui risque de devenir franchement contre-productive, la « révolution populaire » ne me paraissant pas actée de sitôt. On continuera donc à le faire passer pour « l’ignoble » de service, au détriment de la gauche radicale qu’il a initiée et incarnée.
La différence entre une dictature et une démocratie occidentale est que la D.O. fournit la vaseline, notamment par médias interposés.