Je ne répondrai pas à cet imbécile, mais j’ai quelques explications pour les autres.
Le traitement médicamenteux jusqu’à la ménopause concernant une femme souffrante sur sept avait tout pour réjouir Big Pharma (soigner sans guérir est sa vocation première).
Sans la chirurgie, chaque femme concernée devenait une mine d’or pour 30 ans.
On verra dans l’extrait qui suit le nombre ahurissant de spécialités concernées.
« la seule façon de maîtriser cette maladie, c’est de supprimer les règles en prenant des médicaments : soit des contraceptifs oestroprogestatifs cycliques ou continus, soit des progestatifs macrodosés (Lutéran, Lutényl, Surgestone ou d’autres variantes me-too), soit un anti-androgène de type Androcur, soit du diénogest (Visanne, progestatif présenté comme nouveau et révolutionnaire, alors qu’il a été développé dans l’ex-Allemagne de l’Est il y a une trentaine d’années), soit des dispositifs intra-utérins tels que le stérilet Mirena, diffusant le progestatif lévonorgestrel, soit encore un analogue agoniste GnRH tel que la leuproréline Enantone/ Lupron / Lucrin / Prostap/ Gynecrin / Trenantone, ou la triptoréline Decapeptyl (vendue aussi sous d’autres noms tels que Diphereline, Gonapeptyl,...), ou encore le Zoladex, le Synarel ou d’autres. En France, c’est AbbVie (précédemment TAP : Takeda Abbott Pharmaceuticals) qui payait le plus, mais cela a changé. Et comme c’est IPSEN qui paie les médecins, leurs organisations, les formations médicales continues, etc. et finance leurs activités et leurs congrès, sans oublier de sponsoriser la communication sur divers supports en direction du grand public et des associations de malades, eh bien, c’est le Decapeptyl qui est désormais le plus prescrit. »
A l’inverse, un geste chirurgical bien fait et complet, aux mains d’un spécialiste affuté, rend à ces femmes une vie normale (sexuelle entre autres), n’altère pas leur capacité de procréation, et leur rend la joie de vivre en dehors de Big Pharma, qui désinforme donc à tour de bras, avec la complicité de nombreux médecins et gynécologues.