@Daniel
PIGNARD
Je rêve d’un jour ou l’on aura enfin compris que les lois ne changent pas
l’homme. Ce dernier s’y soumet, c’est tout, ce qui ne veut pas dire qu’il les a
adoptées, ni assimilées intérieurement, dans le fond de lui, de son cœur.
La religion, au départ, en vérité, propose, mais n’impose pas. C’est une chose
qui évidemment a été oublié ; d’ailleurs c’est pour cette raison que cette
dernière doit être dépassée (au mieux…). Elle a inspiré tout système politique,
judiciaire, etc. : regardez les codes civil, pénal, du commerce… ! Mieux
que la Bible.
Des
pouvoirs de l’H sur l’H, y compris des (auto)conditionnements, la solution de
facilité, etc. on fait oublier l’inaliénable liberté que le créateur donne aux croyants dès la « Création »,
elle transparait dans tous les
écrits monothéistes quand on les lit l’esprit ouvert au…transcendant justement.
J’insiste
dessus parce qu’il est évident, je le répète, que la déformation de la
révélation en « simili-textes de lois », à l’avantage des califes, évêques,
rabbins etc. et du grégarisme et autres de nos bassesses, une fois reconnue,
nous permet à tous d’accéder au fait suivant : cette transcendance
nous est accessible pour nous rendre meilleurs et les textes n’ont pas à être
pris à la lettre, suivis à la lettre, considérés comme entièrement fiables (les
hommes et le temps sont passés dessus à dos de mouton, à de chameaux, de chevaux
bientôt d’éléphants).
PS. C’est
mon avis et je le maintiens. ….Non, en vérité il me viens d’analyses lues sur
la « Révélation d’Arès », polémique, tue (heu, du verbe taire), très peu
médiatisée car gênante, calomniée-parfois habilement-, espionnée il fut un
temps par les RGs, antisecte, antireligion
où religion n’est pas « religare, relier au ciel, ou bien les humains »
mais institution à vocation de diriger les consciences.