Alain Alain
Ne tombez pas dans l’alarmiste climatique que certains prônent depuis quelques années .L’origine du réchauffement, n’est absolument
pas la responsabilité unique de l’homme et particulièrement du CO2 anthropique.
Vous tombez dans le système voulu par certains,
et qui utilisent l’argument CO2, comme élément
culpabilisant servant de justification à la mise en place de taxes.
PRÉTENDRE QUE L’HOMME PEUT PILOTER LE CLIMAT EST UNE
IMPOSTURE.
Et nous sommes quelques uns, sur ce blog a le signaler depuis longtemps Prenez du recul et renseignez vous.
Tout le système spéculatif carbone mis en place après le protocole
de Kyoto en 1997 est assis sur le postulat CO2
anthropique.
Pourquoi, alors que l’on sait que l’élément vapeur d’eau,
est un gaz à effet de serre beaucoup plus présent dans l’atmosphère que le CO2, n’a-t-on
pas assis le système de taxe sur le
rejet de vapeur d’eau ? Réfléchissez bien au problème.
Même e en lisant les rapports GIEC, on ne trouve pas la
proportion de CO2 anthropique, entrant dans le total de CO2 rejeté par tous les éléments terrestres, nature, animaux océans
etc.
On trouve partout les
valeurs des échanges des cycles du carbone, exprimées en Gt/C an, ratio rejets et puits. Mais si on exprime cela en
proportion dans l’atmosphère, c’est
très, très peu..
Par exemple le volume total de CO2 moyen dans l’atmosphère est
passé de 0.03 % à 04 % depuis les années 50.
Allez chercher l’info autre part que dans les allégations du
GIEC, organisme politico scientifique qui a été créé dans le but unique démontrer
le rôle de des gaz effets e serre
anthropique. (C’est écrit dans ses statuts).
Les présuppositions sur le rôle essentiel du CO2 anthropique dans le
réchauffement climatique sont passées de l’hypothèse, au postulat .Elles sont
devenues des vérités par la grâce performative des spécialistes du GIEC. Rien
n’est démontré clairement, et la rigueur scientifique, n’a pas toujours été
respectée dans les analyses du GIEC ;
Et pourtant , nos décideurs s’alimentent en information par ce canal unique.
Il y a une part imprévisible dans le climat que la
science ne pourra jamais appréhender. »
Quoiqu’on nous oblige , le climat évoluera
dans le sens que la nature décidera.
En ce qui concerne le rôle du CO2 Jetez un œil sur ce lien (Au
moins sur la conclusion) et sur les commentaires associés très intéressant.
http://www.science-climat-energie.be/2018/08/06/le-co2-et-le-climat-avec-et-sans-effet-de-serre/
6 août
2018atmosphère
et CO2, climat, effet de
serreGeorges Geuskens