@Aristide
Le PS qui soutient l’extrême droite, un scoop ! Mais je comprends que vous préfériez accuser l’UPR, alors que vous avez des dirigeants socialistes qui ont fricoté avec les Islamistes, il vaut mieux le cacher.
Des fois que les Français vous demanderaient des comptes pour avoir armé la pseudo « Armée Syrienne Libre » , soit disant des modérés, inventée par Sarkozy et Juppé. Hollande n’a fait que poursuivre leur oeuvre.
"Début 2012, les légionnaires français escortent les 3 000 combattants
de l’ASL à Homs, l’ancienne capitale de la colonisation française, pour
en faire la « capitale de la révolution ». Ils se retranchent dans le
quartier neuf de Baba Amr et proclament un Émirat islamique. Un tribunal
révolutionnaire condamne à mort plus de 150 habitants qui étaient
restés dans le quartier et les fait égorger en public. L’ASL tint un
siège d’un mois protégée par des postes de tir de missiles anti-tanks
Milan, mis à disposition par la France.
Lorsque le président François Hollande relance la guerre contre la
Syrie, en juillet 2012, il conserve —fait unique dans l’histoire de
France— le chef d’état-major privé de son prédécesseur, le général
Benoît Puga. Il reprend la rhétorique et la gesticulation
coloniale. Ainsi, il déclare que la République arabe syrienne est une
« dictature sanguinaire » (il faut donc « libérer un peuple opprimé »)
et que le pouvoir est confisqué par la minorité alaouite (il faut donc
« émanciper » les Syriens de cette horrible secte). Il fait interdire
aux réfugiés syriens en Europe de participer aux élections qui se
tiennent dans leur pays et décide à leur place que le Conseil national
syrien —non élu— est leur représentant légitime. Son ministre des
Affaires étrangères, Laurent Fabius, déclare que le président
démocratiquement élu, Bachar el-Assad, « ne mérite pas d’être sur la
Terre ».etc