@Et hop !
Je n’ai pas envie de faire de Marx un saint. Ce n’est pas une raison pour en faire un démon.
Marx, comme presque tout le monde, s’est marié dans son milieux et il a croqué la fortune de sa femme, et la sienne aussi, dans des publications que la bourgeoisie coulait régulièrement, et pas dans une vie plus austère que luxueuse, ce qui relativise, sensiblement, l’étendue de ces fortunes.
Par contre s’il a connu Engels très jeune, et même si on peut considérer qu’il occupait, de ce fait, un emploi fictif dans les usines « Engels and Co », celles-ci n’ont jamais coulé du fait de ces deux « employés », qui passaient bien plus de temps dans leur études sociétales qu’au service réel de l’entreprise. Sauf que la connaissance fine des finances de cette société ne sont pas pour rien dans la précision de leurs études sur le capitalisme.
Quand à Rousseau on peut apprécier ses idées politiques sans, pour autant l’exonérer de ses responsabilités familiales. C’est un peu la même situation que celle de Polanski aujourd’hui