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Commentaire de Sozenz

sur « Donna Donna » : Joan Baez, le veau et l'hirondelle


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Sozenz 28 novembre 2019 12:15

Un immense merci à vous pour ce magnifique article .

j aime enromement les deux dernières versions que vous avez posté .

si je peux me permettre une interprétation  :

Le veau crie, le paysan lui dit : / Qui t’a dit d’être un veau ? / Tu n’avais qu’à être un oiseau, / Tu n’avais qu’à être une hirondelle. / Le vent rit dans les blés. / Il rit et rit et rit. / Il rit toute la journée / Et la moitié de la nuit. / Dona dona

 ce paragraphe sous entend que l on choisit sa vie avant la naissance , que l on choisit son incarnation .

on retrouve ce principe dans le systeme des castes en inde par exemple .

on le retrouve aussi dans le bouddhisme sous l expression du karma .

Les pauvres veaux on les attache, / On les traîne et on les égorge. / Qui a des ailes peut s’envoler / Et n’est le valet de personne. /

image poétique pour celui qui veut se liberer .

l homme ( le veau enchainé) a le pouvoir de retrouver ses « ailes » et sa liberté .

la phrase et n est le valet de personne lié à l ensemble du paragraphe démontre que l on parle bien du « passage de l etat d esclave .... à la possibilité de retrouver sa liberté » .


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