Quand on voit les avancées de la robotique (notamment au japon), l’avenir ne peut à long terme que déboucher vers une généralisation dans tous ou quasi les secteurs, ceux de la création, de la vente, des services y compris à la personne et d’autres qu’on ne peut soupçonner...

Ce qui nous apparait aujourd’hui comme de la fiction demain deviendra aussi banal à nos yeux, qu’envoyer des photos par mms ou recourir à l’aide d’un assistant vocal pour moultes usages de la vie courante. Rappelons nous ces films ou des humanoides servaient à la fois de nounou, d’homme à tout faire et parfois s’en allaient travailler à la place de leur propriétaire)

Pour l’instant il est question d’argent puisque, ce système n’étant pas généralisé, il en faut bien pour vivre et si possible décemment... On peut donc pour compenser le chomage que cela génère, taxer ces automates aux fins de reconversion du personnel impacté. 

Toutefois ceci n’aura qu’un temps, A long terme, certainement l’argent disparaîtra, lorsque les robots s’auto programmeront, se répareront eux même avec des pièces que d’autres robots auront extraits et usinés... et surtout seront en capacité de procurer à l’humain tout ce dont il a besoin (ou envie)

Le travail alors inévitablement par la force des choses, se transformera en bénévolat, car malgré tout, nous avons toujours besoin à la fois de nous sentir utile, d’avoir une occupation, de garder, d’établir des contacts humains avec nos semblables faits de chair et de sang, ainsi que d’exprimer notre créativité, nos talents. (ne serait ce qu’une tarte ou un pain, faits avec amour ; ceux ci n’ont pas le même goût voire le même aspect, que faits à la va vite sur une chaine de fabrication par du personnel (voire un humanoide) qui n’a pas le temps ni l’envie de s’impliquer plus que nécessaire et qui vit son travail comme une corvée ou dans l’indifférence la plus totale.)

M’enfin.... Des premières installations télégraphiques à la wifi, du cheval à la fusée ; A l’échelle de l’histoire de l’humanité, c’est un fait les choses s’accèlèrent...

Après, il va de soi que dans ce contexte, la transition peut s’avérer difficile pour certains plus que pour d’’autres. (plus jeunes, plus adaptables aux réalités économiques, plus mobiles)