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Commentaire de

sur L'éthique de la génétique


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(---.---.235.253) 6 mai 2006 16:20

Le progranmme d’éradication de la variole par les vaccinnations systématiques a été décidé en 1958 et renforcé en 1967. Du fait de résultats catastrophiques,l’OMS a changé sa stratégie en abandonnant la vaccination systématique de masse.

C’est ce qu’il ressort d’un rapport rédigé en 1972 publié par des experts.

Les conclusions de ce rapport sont contradictoires dans leurs soucis de ménéger les politiques vaccinales de masse (comité O.M.S d’experts d’éradication de la variole. deuxième rapport Rapport technique O.M.S n° 493 ; 1972).

Cependant, en voici une des phrases clés de ce rapport

Citation :

les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnés de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. Les campagnes de vaccination connurent les plus grands succès dans les pays dotés de services de santé relativement développés et bien administrés.

Toutefois, dans certains pays, même lorsque la couverture vaccinale atteignait 8O% voire 9O%, les sujets sensibles non vaccinés, regroupés en certains secteurs particuliers du pays ou dans des zones de faible culture socio-economique des villes, constituaient une population suffisamment importante pour que la transmission de la variole se perpétue.

A souligner :

8O à 9O% des varioleux présentait des cicatrices vaccinales. Donc, il est inexact de dire que la variole a été éradiqué par le vaccin. Au contraire, le plus souvent, cela provoque des maladies que ces vaccins sont sensés éviter.

Je trouve dommage que vous présentant comme journaliste, vous repreniez à votre compte des faits que vous ne semblez pas avoir vérifiés.

Je vous propose comme base de vérification de vous pencher sur les écrits de ce scientifique : Georget : Vaccinations, les vérités indésirables

L’ancien Professeur agrégé de biologie Michel Georget fait partie des scientifiques qui, depuis peu, osent poser les questions qui dérangent. Il l’a fait notamment dans un livre intitulé « Vaccinations, les vérités indésirables »(1), préfacé par le Professeur Cornillot, doyen-fondateur de la faculté de médecine de Bobigny. On l’a lu dans des articles de revues médicales, on l’a entendu dans toute la France et à l’étranger, invité à s’exprimer lors des congrès internationaux médicaux, ou des colloques, notamment au Parlement Européen. Sujet de prédilection, les vaccins bien sûr : ce qu’on en dit et surtout ce qu’on cache, des effets secondaires sous-estimés aux dangers de contamination par les additifs, en passant par les mythes et les réalités de la couverture vaccinale.

A la différence de certains détracteurs doctrinaires des vaccins, Michel Georget base ses démonstrations sur la rigueur scientifique et l’honnêteté de la méthode. Il ne vitupère pas, il ne gesticule pas, il constate. Calmement, et en toute indépendance, il compare les études et les données ; démontre que les vaccins ne sont pas toujours les innocents qu’on présente, que certains d’entre eux peuvent provoquer des effets secondaires que les autorités sanitaires ignorent le plus souvent, volontairement ou non.

(1) Editions Dangles, 2000


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