Le vrai problème, quel que soit l’espèce, est cette manie désagréable et absurde de l’Humain de vouloir coloniser tous les espaces naturels et laisser quelques rares bords de rivières à des animaux qui, autrefois, pouvaient vivre tranquillement.
On pense réellement que laisser un lac à une colonie d’oiseaux suffit pour leur vie/survie alors qu’il faut aux espèces des hectares et c’est « proportionnel » à leur taille.
Quant à leur développement abusif, il faudrait peut-être s’orienter vers les déchets que nous produisons et balançons dans la nature sans même se soucier de leur effet.
A Paris (idem pour les autres villes), les rats ne mangent plus les ordures mais les restes de McDo que les touristes/nationaux jettent. A Marseille, il y en a tellement qu’ils sont aux pieds des clients à guetter la moindre miette.
De plus, à force de tuer tous les prédateurs potentiels (en plus de la réduction de leur habitat), et ce depuis des siècles, on crée forcément le déséquilibre dans une nature qui était, elle, parfaitement équilibrée et durable.
En ce qui concerne l’animal que vous décrivez, j’en ai vu dans le sud de la région parisienne (en campagne sur les bords d’une rivière) et ils ne faisaient de mal à personne.
Toute espèce peut être nuisible du moment qu’elle n’a plus de limites et qu’elle a, artificiellement, des réserves illimitées lui permettant une sexualité exagérée.