Ce qui corrobore tout à fait ce qu’écrivaient déjà Catherine Riva journaliste & Jean-Pierre Spinosa gynécologue-obstétricien en 2010 dans leur livre (essai d’investigation) « La piqûre de trop ».
« On apprend que la protection du vaccin est de 14 à 27 %
(p.52), c’est-à-dire ridicule ; que les statistiques sont surévaluées ;
que 90% des infections à HPV disparaissent spontanément ; que le coût
de la vaccination est absolument prohibitif par rapport aux économies
réalisées sur le traitement des cancers du col déclarés ; qu’on a
fait disparaître les témoins des études en les vaccinant après l’étude,
ce qui supprime toute possibilité de faire des comparaisons plus tard ;
que les contrats et lois sur la prise en charge des vaccins par les
états étaient signés avant les conclusions des études !
On a fait croire que le risque pour les jeunes filles
d’être infectées par un HPV était de 70 % alors qu’on a montré aux USA
qu’une infection à HPV 16 a été détectée chez 1,5 % des femmes et une
infection à HPV 18 chez 0,8 % des femmes et que seulement 20 à 25 % de
celles-ci , infectées à haut risque, développera un cancer in situ CIN 2
+ ou un cancer. »
Catherine Riva journaliste & Jean-Pierre Spinosa gynécologue-obstétricien
http://www.coordiap.com/public4857-piqure-de-trop.htm