Il y a des problèmes beaucoup plus urgents à régler en faveur du respect de la femme(...) Le sort des femmes battues, celui des jeunes filles de nos banlieues-dortoirs (...) Que dire du peu de place donné aux femmes françaises dans les institutions politiques (...) La parité, dont on nous rebat tant les oreilles (...) Que dire de ces femmes salariées qui sont en butte à des harcèlements sexuels ou moraux mettant en péril leur maintien dans le poste qu’elles occupent ? Rien n’est réglé, puisqu’elles éprouvent énormément de difficultés à prouver ce genre de délit dont elles sont, plus souvent que les hommes, les victimes désignées ! (...) inégalité chronique des salaires (...)il reste tant à faire pour la condition féminine... / Dominique Dutilloy
...Fondatrice des Chiennes de garde, Florence Montreynaud conclut : « Demander à une femme Madame ou Mademoiselle ? revient à lui demander si elle fait l’amour avec une alliance au doigt. » D’ici à la rentrée, la pétition sera remise aux parlementaires et à Catherine Vautrin, ministre de la Parité./ par f40ans (IP:xxx.x99.4.103) le 5 mai 2006 à 17H35 qui inclue un article de presse Le Parisien VIVRE MIEUX, samedi 22 avril 2006
les deux points de vue ne sont pas contradictoires puisque l’on parle d’améliorer d’une façon ou d’une autre tout ce qui porte atteinte aux femmes.
je suis d’accord avec Dominique Dutilloy en ce qui concerne tous les problèmes évoqués plus haut ; je suis passible de l’un d’entre eux, étant en arrêt maladie (dépression) pour harcèlement moral et sexuel à mon travail (fonction publique / pas de sanction contre les harceleurs) / refusant les avances masculines de certains messieurs, il y a eu coalition pour me transformer en goudou, brouteuse, lesbienne...(parce que les hommes n’encaissent pas les refus qui font échec à leur virilité / soit dit en passant virilité vient du latin, de vir : vertu), parce qu’on refuse les relations sexuelles faciles, sans investissement affectif, parce qu’on ne veut plus s’engager par peur de souffrir et de voir ses enfants souffrir / parce qu’on ne veut plus faire courir à ses filles le risque d’être victimes d’un tordu (mon ex-mari a tenté d’abuser de ma fille aînée quand elle était adolescente (13 ans), malheureusement elle ne parlera qu’après le début de la procédure de divorce et alors agée de 21 ans 1/2) tentant encore une fois de trouver le bonheur et tomber sur un homo déguisé en Don juan qui s’était constitué deux harems : un masculin et un féminin et qui lorgnait du côté de ma fille aînée (encore) et sur ma deuxième agée de 14 (quand j’ai compris le danger j’ai rompu) / NON JE NE DÉLIRE PAS/ J’AI DES PREUVES/ pour tout cela on vous accable d’un changement forcé d’identité sexuelle avec tout ce que cela comporte de mépris et d’atteinte à la dignité et au respect, car je vis dans une petite ville de province et cette odieuses calomnie s’est répandue comme feu de paille...
Alors oui je suis d’accord avec monsieur Dominique Dutilloy, mais je ne peux pas laisser mes épreuves personnelles limiter les autres approches de la condition féminine.
En effet la distinction entre madame et mademoiselle trouve sa justification dans la situation matrimoniale ou pas des femmes, quelque part c’est un atteinte à l’intimité et à la dignité ; parce que le passage de mademoiselle à madame sous-entendait « officiellement » par la situation matrimoniale le changement physiologique de l’état de virginité à celui de « femme » les jeunes filles n’acquérant ce statut social que par leur nouvel état de propriété du mari (code Napoléonien).
je ne veux pas faire de longs discours sur l’évolution de la condition féminines et les nombreux combats qui ont été menés et qui ne sont pas finis ; je dirai simplement que malgré tout la situation a quand même bien évolué depuis Napoléon *qu’il rôtisse en enfer *
Mais quelque part justement, parce que les temps ont changé, la langue doit aussi évoluer. Et puis « madame » est une appelation courtoise (ma Dame) qui nous rapelle le temps des troubadours et de la Fine Amor /les femmes pouvaient être mal mariées à des maris barons ou duc qui se comportaient en soudards, pas toujours, la Fine Amor leur donnaient un espace de rêve et de liberté, c’étaient d’autres temps...soyons du notre...Simplifions ce qui peut l’être, les britanniques n’ont pas mal trouvé...
Et puis si à madame et mademoiselle nous enlevons les trois premières lettres communes que nous reste-t-il à lire ? ame et oiselle, ma foi je préfère l’« ame »
03/11 00:18 - Navye
Qu’en est il d’un Skipper qui n est que Skipper au féminin comme au masculin ?? Le (...)
16/08 20:01 - Dominique Dutilloy
Madame, vous avez beaucoup d’humour... Cependant, j’ai voulu, dans cet article, (...)
16/08 17:33 - Nadine
Désormais nous nous permettrons de vous appeler Mondamoiseau Dominique. Je n’ai pas (...)
09/06 22:18 -
Les fameuses féministes qui sont choquées qu’on puisse dire « ma femme » ne comprennent (...)
16/05 22:32 - louÿse
@ docdory "C’est parce que vous avez insinué , un peu perfidement , que ma psychologie (...)
15/05 18:51 - docdory
Réponse à Louyse , Tout d’abord je suis désolé de vous avoir attristée . C’est (...)
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