@Fifi Brind_acier
Je ne fais que constater que vous écrivez que l’Allemagne trouve la BCE trop prodigue, or par ailleurs vous vantez souvent le recours à la planche à billets, donc sur ce point vous êtes en accord avec la BCE en opposition avec l’Allemagne. Je mets en parole votre chanson 
J’ai regardé le site UPR Wiki (sic !) concernant V Brousseau ; Quelqu’un qui a travaillé un moment dans un organisme et en devient dissident ensuite n’est pas pour autant infaillible. Mais j’ai un peu suivi la question des déséquilibres « target2 » (du reste davantage liés à des opérations financières que commerciales), il s’agit avant tout d’un « jeu d’écriture » qui ne se concrétiserait qu’en cas de sortie de l’euro d’un pays « négatif ». Il y a des moyens techniques de réduire les disparités par exemple en revenant, paradoxalement, à des emprunts interbancaires. Mais je suis d’accord que les concepteurs ont un peu oublié que l’on ne peut pas à la fois être supra-national en terme de monnaie, et national en terme de bilan. La monnaie dite unique (en fait à mi-chemin entre commune et unique) n’aurait du venir qu’après une bien plus forte intégration économique. Ici encore il y a eu la tactique du « cliquet » en pensant entrainer le reste par la méthode du « fait accompli ».
Mais comme je l’ai déjà indiqué, même étant très critique sur le fonctionnement actuel de l’UE, la situation en matière d’euro présente aussi des avantages (taux bas, politique monétaire souple, parité moins excessive...). L’accès au « marché unique » également.
C’est pas du 100% favorable / 0% défavorable ni l’inverse, mais peut être du 60/40