Monsieur Jonas à propos de l’Algérie, je vous invite de lire les articles référencés suivants qui vont dans le sens de 1 million de morts depuis le début de la colonisation française 1830
En effet, les premiers massacres de masses commencèrent dès les années 1830. Citpons les propos d’un officier et diplomate présent sur place, Edmond Pellissier de Reynaud qui écrit :
"Tout
ce qui vivait fut voué à la mort ; tout ce qui pouvait être pris fut
enlevé, on ne fit aucune distinction d’âge ni de sexe. Cependant
l’humanité d’un petit nombre d’officiers sauva quelques femmes et
quelques enfants. En revenant de cette funeste expédition, plusieurs de
nos cavaliers portaient des têtes au bout de leurs lances et une d’elles
servie, dit-on, à un horrible festin".
Elle est belle notre civilisation !!!!!!!
Il y a même des chiffres qui estiment l’extermination à 3,5 millions d’algériens en 132 ans de colonisation française.
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/132-ans-de-colonisation-recit-des-118125
https://blogs.mediapart.fr/edition/memoires-du-colonialisme/article/100515/pour-une-reconnaissance-du-genocide-algerien-13
https://www.liberte-algerie.com/actualite/i-5-million-de-morts-pour-le-baroud-final-110361/print/1
Pour Médiatpart :" Le 8 mai 1945 est le symbole de la répression française avec les
massacres de Sétif ( entre 10 000 et 20000 morts) et sa région en Algérie encore française. Ce fut une
goutte de haine qui fit déborder un vase déjà bien rempli du sang des
« indigènes », car il convient de le rappeler : avant les évènements de
Sétif, c’est tout une politique génocidaire s’étalant sur plus d’un
siècle qui avait été mis en place par "les émissaires de la
Civilisation". A l’heure où la France, pays des Lumières et des Droits
de l’Homme dit-on, s’entête à faire reconnaître le génocide arménien par
la Turquie, cette dernière n’a pas encore accordé le statut de génocide
à ce qu’elle a fait en Algérie. Et pourtant : camps de concentrations,
chambres à gaz (artisanales), massacres de masses inopinés... tout les
ingrédients sont là.
"