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Commentaire de SEPH

sur La torture des détenus palestiniens reste la norme en Israël


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SEPH SEPH 20 janvier 2020 20:54

@Jonas

Donneur de leçons !!!

Vous ne répondez pas au sujet du NETTOYAGE ETHNIQUE DE LA PALESTINE raconté par un éminent historien israélien.

Quand a la liste des massacres dans différents pays, ils sont le fait de l’impérialisme US appuyé par Israël : Syrie,Irak,Yémen, Liban,...

Plus précisément en ce qui concerne l’Algérie
Le responsable principal est la colonisation française. En effet, en 132 ans de colonisation, se fut une suite de massacres de masse et de tortures en Algérie (chems eddine Chitour)

Pour se donner une idée de la portée de ces massacre, il faut se référer à l’étude démographique qu’en a fait le docteur Ricoux, lequel considérait dans sa Démographie figurée de l’Algérie que la « race inférieure » et « dégénérée » que composent « les indigènes […] sont menacés d’une disparition inévitable, prochaine. »

A notre arrivée, en 1830, la population indigène était évaluée à trois millions d’habitants. Les deux derniers recensements officiels, à peu près réguliers, donnent en 1866 : 2.652.072 habitants, et en 1872 : 2.125.051 ; le déchet en 42 ans a été de 874.949 habitants, soit une moyenne de 20.000 décès par an. Durant la période 1866-72, avec le typhus, la famine, l’insurrection, la diminution a été bien plus effrayante encore : en six ans il y a eu disparition de 527.021 indigènes ; c’est une moyenne non de 20.000 décès annuel mais de 87.000 !

Si l’on en croit les chiffres, la France aurait donc enlevé la vie en toute impunité à presque un million d’algériens en à peine plus de 40 ans d’occupation. D’autres chiffres affirment que de 1830 à 1856, la population algérienne passa d’environ 5 à 3 millions d’habitants à environ 2,3 millions. Par la suite, elle remonta jusqu’à 2,7 millions en 1861 avant de connaître sa chute la plus brutale à 2,1 millions d’habitants en 1872. La population algérienne ne retrouva son niveau d’environ 3 millions d’individus qu’en 1890.

En se basant sur ces chiffres, nous pouvons établir que l’Algérie a perdu entre 30 et 58% de sa population au cours des quarante-deux premières années (1830-1872) de la colonisation française. Un tel désastre humain, volontairement provoqué et mis en avant par une autorité politique responsable, ne peut être qualifié au regard de l’histoire que par le terme de génocide.

Par ailleurs, plus les 20 000 qui se sont sacrifiés pour la France durant sa première guerre contre les Allemand (1914) et deux fois plus pour la seconde guerre mondiale, entre 1939 et 1944. La France n’a jamais formulé la moindre excuse pour ses actes barbares, tout juste a-t-elle consentie sur le tard quelques mots de compassion pour nos concitoyens qui lui ont prêté main forte contre le nazisme.
Après les combats sur le terrain, il y a eu la bataille des chiffres. Combien de morts du côté algérien ? 1,5 million, a dit le FLN. 250 000, disent les historiens officiels de la France !


Votre histoire d’œillères  est minable.


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