@velosolex. Des adolescentes qui prises la main dans le sac, continuent à nier et à jurer qu’elles n’y sont pour rien, on en a des palanquées. Et il y en a qui oublient cela ?
Nettement plus rares sont celles assez paresseuses pour rêver vivre de chantage, et pensent qu’il suffira de multiplier les provocations pour compromettre l’adulte et le faire chanter.
Tant que tu n’as pas rencontré le cas, tu peux bien hurler que c’est impossible et que ça n’existe pas. Les opportunités peuvent exciter la larronne, et il y en a des tas.
Un des élèves tardifs de Milton Erickson — de mémoire, il me semble que ce fut Rossi — est confronté à une pile de feuillets exprimant une biographie, en demande de psychothérapie. Il y passe l’après-midi, puis Erickson lui demande son avis. Très perplexe, il répond qu’il s’agit d’une personne ayant beaucoup souffert. Erickson reprend le premier feuillet, et lui explique : « II suffit de lire les trois premières phrases pour savoir qu’il n’y aura jamais un mot de vrai là dedans ». Puis il lui donne la suite des exploits de cette perverse jusqu’à ce quelle disparaisse de la ville en laissant derrière elle des milliers de dollars de factures médicales impayées. Le but de l’épreuve à Rossi : qu’il assimile qu’on n’est pas tout-puissants, qu’on rencontrera des pervers manipulateurs bien plus forts que n’importe qui.
Le système Plenel + Haenel + complices + media n’a aucune motivation à être honnête. Ils vont se buter sur leur accusation du bouc émissaire, jusqu’à sa mort.