Casse de l’hôpital, casse des APL, casse de l’assurance chômage, casse du droit du travail, casse des retraites, cadeaux fiscaux faites aux plus riches et aux entreprises du CAC 40...
Macron qui n’a pas et ne souhaite pas d’avenir politique dans l’hexagone après 2027 soigne son CV à l’international d’autant plus qu’il n’a pas été choisi par « le système » puis « élu » contre MLP au second tour de l’élection présidentielle ( autant dire qu’il a été élu avec son score du premier tour), pour que les pauvres soient un peu moins pauvres et moins nombreux et les riches un peu moins riches, mais bien plutôt ... le contraire ! Rappelons ceci pour ne pas l’oublier : tout comme Shröder, Blair et Merkel, Macron, à son départ, devra laisser derrière lui plus de pauvres qu’en arrivant ; seule condition à l’obtention d’un poste prestigieux et hyper-rémunérateur à l’ international (cela vaut pour tout locataire de l’Elysée ou de Matignon).
Gerhard Shröder (sous son règne, l’Allemagne est passée de 11 à 19% de pauvres). Il est aujourd’hui « directeur indépendant » chez Rosneft, société d’État russe spécialisée dans l’extraction, la transformation et la distribution de pétrole.
Tony Blair qui a poursuivi l’œuvre de M. Thatcher avec des mini-jobs payés 1£ de l’heure, conseille les sociétés JP Morgan et Zurich Financial.
Reste toutefois à comprendre pourquoi tous les salariés et non-salariés ont compris que cette réforme a pour unique préoccupation la baisse des retraites, excepté tous les « journalistes » et les éditorialistes des médias dominants dégoulinant de partis-pris : ceux de leurs propriétaires qui signent les chèques en fin de mois ?