Ce qui est dangereux (et criminel), ce n’est pas la droite. C’est le progrès rampant. Cette idéologie a introduit le relativisme absolu partout (éducation nationale), a autorisé chacun à avoir une personnalité originale, a obligé chacun à produire ses propres raisonnements plutôt que recevoir une morale d’ailleurs. Les modernes ont engendré la république du c’est mon choix, c’est pas de ma faute, je n’y peux rien, je dois surtout être fier de moi. Par terrorisme intellectuel (Cf. jean Sévilla), les modernes ont revisité l’histoire, l’ont réinterprété et pratiqué le révisionnisme pour faire exploser le sentiment de culpabilité chez chacun pour créer la rupture(collaboration, colonialisme, cathares, moyen age, génocide vendéen.) Ces modernes ont écrit l’histoire du présent, niaiseries romantiques à l’appui (couples en n et b s’embrassant sur les barricades, Hugo, le temps des cerises), ils ont calomnié, pris possession des médias pour mieux manipuler : proclamer faux ce qui est vrai et créer du Mythe autour des camarades. Ces modernes et leurs médias ont imposé le politiquement correct qui a commencé par nous interdire le débat sur le communisme. Etre anti-communiste signifiait être nazi pour eux. Ils nous ont ensuite empêché de débattre sur l’immigration. Vingt après on commence à réaliser ce que ce débat aurait pu apporter. Aujourd’hui, ils inventent la Halde pour nous empêcher de débattre sur les revendications des homos. Nous sommes donc tous privés de débats. Et le libéralisme qui transforme les petites fiertés individuelles en consommateurs de culture, c’est à dire de nous même, en anthropophages, participent de cette idée moderne. Alors, je vous assure, ce qui est dangereux, ce sont les idées qui réduisent l’homme à une peau de chagrin, vidé de vérité, devenu homme pensé et non plus pensant, pensé par la modernité. C’est la gauche, l’ancestrale gauche, les forces du progrès, qui ont fait naître tous ces maux. Ils en sont encore détenteurs. Mais, heureusement, la droite lui emprunte beaucoup de sa modernité et la suit dans le sillon du crime nihiliste, du meurtre de l’homme.