@Le421
« C’est dommage de toujours concevoir les relations humaines suivant la règle du rapport de force »
Vous noterez que le rapport de force sous-temps aussi le concept de « lutte des classes », basée sur la relation dominant/dominé, mais collectivement.
Il y a quelque chose d’atavique issu de l’« évolution », la domination existe chez la plupart des mammifères supérieurs (et pas seulement).
Dans un couple, il peut y avoir équilibre et harmonie, souvent basés un un partage des domaines de prédilection. Désormais il n’y a plus des « tâches assignées » de manière rigide comme jadis, et la conception des rôles peut devenir alors plus sujet à antagonisme (du reste, la proportion de divorces s’accroit).
Il arrive qu’une jeune fille s’attende à voir son mari prendre un rôle dominant comme le fut celui de son père, et si ledit mari est plutôt conciliant, elle peut alors s’approprier la prééminence (renversement matrimonial en quelque sorte).
Il y a enfin, au niveau de notre société occidentale contemporaine une propension à culpabiliser collectivement la gent masculine, par exemple en hystérisant les -réels- problèmes d’abus sexuels.
Dans la communication publique, lorsqu’il est question collectivement des hommes, c’est pour mettre en exergue des turpitudes (violence, égoïsme..), et lorsqu’il est question collectivement des femmes, c’est pour mettre en exergue des vertus (polyvalence, altruisme...)