@arthes
Il y a une grande différence entre d’une part appliquer le traitement après que « la bataille ait eu lieu » et le prendre dès le commencement. Parce qu’on a, de fait, un trou béant (au milieu) de logique qui rend indiscernable la réponse au débat tant attendu de savoir si oui ou non ce traitement fonctionne.
Pour ce qui est du « groupe témoin », il n’est pas forcément question de les laisser mourir. Il suffit simplement de leur donner un traitement habituel et les autres celui prescrit par Raoult.
Pour augmenter la crédibilité du test, on se doit également de prendre un large éventail de personnes avec des tranches d’âges identiques. Cela permettra de savoir quelles sont les populations les plus vulnérable et chez lesquelles ledit « traitement miracle » fonctionne — si c’est bien le cas.
Je comprends maintenant la réticence des scientifiques mais beaucoup moins leur immense retard de communication quant aux défauts de la première étude. J’ai l’impression qu’ils étaient « sous la vague » (allez savoir pourquoi) alors que pour l seconde ils ont réagi au quart de tour.
Une incohérence de plus alors que la liste des morts s’allonge et qu’on étend chaque semaine la liste des interdictions civiles et celle des lois passées sous le manteau pour rendre notre Etat toujours plus autocratique.
En résumé, on utilise une situation d’extrême faiblesse de la démocratie pour prendre totalement le contrôle de l’ensemble des systèmes sociétaux. Le nombre de morts importe peu pour ceux qui ont osé laisser les frontières ouvertes.