@Bio moon
L’intérêt de la prescription d’un antibiotique dès les premiers symptômes et diagnostic serait peut-être (hypothèse) de limiter plus ou moins drastiquement de suite une potentielle « prolifération » bactérienne en inhibant ces bactéries ou en les détruisant en partie (?) pour pallier au problème de la lymphopénie dont la charge virale serait responsable et devant laquelle un système immunitaire défaillant (lié à l’âge ou pour raison pathologique) ne saurait pas faire face.
Il me semble inadéquat de parler « d’infections bactériennes » quand on sait que la présence de ces bactéries est commensale, et donc n’est pas à priori pathogène, du moins si elles restent contingentées dans certaines sphères de l’organisme, là où elles s’y trouvent habituellement et qu’elles n’envahissent pas des zones où elles n’ont pas à y être. Dans le cas des pneumopathies, les voies respiratoires inférieures...
Mon hypothèse s’inspire des explications de Alexandre Tchoutchaline, chef du département de thérapie hospitalière de
l’Université nationale russe de recherche médicale de Pirogov
https://www.agoravox.fr/commentaire5703523
Si toutefois cela peut contribuer à vos réflexions, et celles de Bernard Dugué (mais je pense lui avoir déjà communiqué cette traduction partielle et lien vers l’article).