@M.William
Je me permets de vous suggérer le lien suivant :
http://ecritscaucasiensprefaces.over-blog.com/article-35728543.html
il présente le récit d’un correspondant de guerre, Henri Barby.
Les faits qui se déroulent en 1918, sont postérieurs à la victoire des Alliés sur l’entente Allemagne/ Bulgarie/ Turquie et à la Révolution Bolchévique bien sûr.
Le récit d’André Mandelstam vient compléter le précédent au cours de la même année :
https://www.imprescriptible.fr/mandelstam/c3/p2
Vous appréciez le courage de ce peuple de résistants, à juste titre :
lors de la guerre de libération de 1992-94, cette population avait pour adversaire tous ceux pour qui l’Or noir de Bakou avait de l’importance :
— compagnies pétrolières en Angleterre, aux USA, en France, en Russie.
Et grâce au produit de l’Or noir :
— les mercenaires des anciennes républiques de l’URSS comme les pilotes Ukrainiens ou russes dont les avions ont été rarement abattus (sans DCA) ou des fantassins tchétchènes etc..
AU début, les combattants arméniens du Haut-Karabagh se sont battus souvent avec des fusils de chasse et à cheval dans les montagnes, ensuite grâce aux équipements abandonnés (chars d’assaut, armes à feu..) par l’ennemi azéri.
Des collectes avaient été réalisées en France pour acheter de simples jumelles...
Le Jardin noir, Récit de guerre, Karabagh 1992-1994
http://www.bibliomonde.com/livre/jardin-noir-4903.html
Aujourd’hui, le clan Aliev pour conserver la rente pétrolière maintient un niveau de haine inimaginable parmi sa population fanatisée. Un niveau qu’on ne trouve même pas chez leurs « cousins » turcs