« Il est d’ailleurs vraisemblable que la grippe en question ait été aggravée par une utilisation abusive de l’aspirine. »
Oui tout à fait, l’aspirine (acide acétylsalicylique) était une
nouveauté présentée comme une panacée contre toutes sortes de maux. Les
grippés ne mourraient pas d’un virus dévastateur mais de
pneumopathies bactériennes secondaires sévères, l’acide
acétylsalicylique (aspirine) prescrit à très hautes doses aurait été in
fine l’agent morbide !
En somme peut-être la méga-erreur médicale de tous les temps pour
cause iatrogénique (?). A décharge de responsabilité pour le corps
médical, les effets toxiques n’avaient pas été étudiés à l’époque, pas
plus que les effets cancérigènes des aiguilles de radium...
Dossier NEXUS : Grippe espagnole
Un siècle après, on nous mène toujours en bateau ! Par Kim-Anh Lim
Trois études publiées aux États-Unis – le pays, rappelons-le, où la «
grippe espagnole » a débuté en Occident – devraient définitivement
mettre fin au mythe d’un virus hyper-virulent venu de nulle part.
http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Juin-2013/Grippe_espagnole_Nexus89.pdf