@nono le simplet
C’est très simple nono. La drépanocytose entraine une dégradation de l’endothélium. Et les dernières recherches montrent que le covid19 attaque l’endothélium, provoque une inflammation et, finalement, une thromboembolie veineuse généralisée.
Nous sommes ici dansl’hypothèse d’ une inflammation systémique des vaisseaux sanguins pouvant toucher le cœur, le cerveau, les poumons, les reins ou encore le tube digestif. Le covid19 ne serait donc pas une pneumonie virale.
https://www.24heures.ch/suisse/covid19-quune-pneumonie-virale/story/25930175
Pour soigner efficacement les attaques du covid19 il faut en priorité prendre soin du système cardiovasculaire. La détresse respiratoire et la pneumonie sont une conséquence d’une défaillance du système circulatoire cardiovasculaire dû au virus. Le lien peut être fait avec le genre de comorbidités qui favorisent les attaques fatales du covid19.
Voilà l’explication concernant les mécanismes d’action de la chloroquine : « La chloroquine et l’hydroxychloroquine abaissent la clairance de l’insuline et augmentent l’insulinémie, d’où un risque hypoglycémique (en association aux antidiabétiques) et un effet favorable sur le contrôle du diabète. Elles améliorent le profil lipidique, possiblement par le biais d’une diminution de la synthèse hépatique de cholestérol. Elles diminuent l’agrégation plaquettaire. Du fait de ces trois propriétés, l’hydroxychloroquine améliore le profil de risque vasculaire dans le lupus. La chloroquine et l’hydroxychloroquine pourraient avoir des propriétés antitumorales et anti-infectieuses ».
Mais tout autre médicament qui favorise la circulation sanguine aurait les mêmes effets salutaires contre les assauts du covid19. D’ailleurs, certains médecins généralistes soignent leurs patients atteints du covid19 de cette façon. En prescrivant de l’héparine par exemple. En combinant avec un antibiotique pour prévenir les infections c’est le duo gagnant.
Voilà nono, le professeur Raoult avait bien senti l’affaire ! Ce qui est vraiment malheureux c’est que nos instances dirigeantes n’ont pas su faire les bonnes mises en perpective, bien des malheurs et des décès auraient pu être évités. En posant le « bon diagnostic », en 48h00 les attaques du virus sont annihilées et le malade est soigné !
Médicament anti-coagulant et anti-agrégant plaquettaire pour empêcher les thromboembolies. L’idée générale c’est de « déboucher » le système circulatoire, de faire en sorte que le sang circule.
« Les antiagrégants plaquettaires, c’est essentiellement l’aspirine que l’on connaît le mieux ou le Plavix®. Ils empêchent les plaquettes de s’agglutiner. L’antiagrégant plaquettaire est essentiellement un médicament des maladies artérielles comme linfarctus ou les plaques d’athérome... pour empêcher que ces plaques augmentent. »
« Les anticoagulants, ceux qui fluidifient le sang ou qui le rendent moins coagulable, sont plutôt des médicaments de la maladie veineuse (phlébite, embolie pulmonaire) et de la fibrillation auriculaire, où la turbulence du cœur peut entraîner des caillots. Quand on a une maladie athéromateuse, de l’artère, il faut s’orienter vers les antiagrégants. Et quand on a une maladie du caillot, il faut prendre des anticoagulants. »