@pemile
Comprenez quand même que, d’une manière générale, en France, le traitement de l’endothélium vasculaire n’est pas à l’ordre du jour ! « On » fait comme si ce dysfonctionnement n’était pas connu après attaque du covid19. Alors, pourquoi vous étonner du nombre de morts ?
Si on utilisait cette procédure, peut être, j’écris bien « peut être », y aurait-il moins de décès.
Mais, figurez vous, que cette action du covid19 sur l’endothélium a été mise en avant dès le 01 mars 2020 par un médecin blogeur. C’est ici à suivre :
Je copie-colle : « La bien curieuse façon dont le virus responsable de la pneumopathie COVID-19 entre dans notre organisme ».
« On a constaté qu’il va se fixer au moyen de spicules présents à sa surface sur un récepteur cellulaire précis, celui de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 ou ACE 2. Derrière ce nom se cache une enzyme dont l’action est de transformer une protéine, l’angiotensine, en un complexe un peu plus court fait de 9, voire de 7 acides aminés. Habituellement ce sont des cellules de la paroi des vaisseaux, ce qu’on appelle l’endothélium vasculaire, qui abritent ces récepteurs, dans le cœur, le rein mais aussi le testicule.
https://www.docteurjd.com/2020/03/01/la-bien-curieuse-facon-dont-le-virus-responsable-de-la-pneumopathie-covid-19-entre-dans-notre-organisme/
Les conclusions de ce médecin vont très exactement dans le sens de l’étude diffusée par les chercheurs zurichois et de celles du docteur Giannini de Bologne. Elles confirment également le principe d’action du complexe médicamenteux proposé par des médecins généralistes français ayant obtenu des résultats extraordinaires pour leurs patients dans la lutte contre le covid19.
Pourquoi faudrait-il être hermétique à ces succès et conclusions ?
Faire des mises en perspective c’est se poser la question de savoir »pourquoi« des pistes évoquées sur l’action du covid19 n’ont pas été prises en considération ? Et si c’est bien le cas, si l’action du covid19 peut être anéantie par l’utilisation de médicaments favorables aux vaisseaux, la question centrale devient : combien de vie auraient pu être épargnées si nos instances dirigeantes avaient eu la lucidité d’examiner cette affaire sous tous ses angles ?
Et, comme l’on parle de l’angiotensine, je sais que »nono", en fin connaisseur de cette enzyme, comprendra mes propos.