@V_Parlier
Merci de vos remarques. Voici les
miennes :
Je n’envisageais pas, comme vous le faites les délocalisations lointaines, me contentant des contraintes actuelles du télétravail imposé brutalement par la crise.
Si j’ai préféré dire « n’importe
où », au lieu de délocalisation, c’est que je tenais à mettre en évidence un
élément supplémentaire, à savoir que l’entreprise vous tient par ce biais « en
laisse », y compris lorsque vous êtes entrain de prendre du repos à la
campagne, ou avec votre portable lorsque vous êtes en promenade, voire n’importe
où.
Les mots globalisants et marketing,
du genre « délocalisation » ont pour but de lisser les aspérités et d’intégrer
d’une manière acceptable (politiquement correcte) des situations qui ne le
sont pas toujours.
A la fin avec ce genre de vocabulaire « novlangue », vous
ne pouvez qu’accepter la délocalisation, sinon voyons, vous retardez !
Merci également pour la leçon de
vocabulaire, mais désolé pour le vocable « globish », je
tiens à ma langue, le français, et je laisse aux colonisés ou aux pédants l’usage
de ce genre de terme supposé valorisant.
« Mais pour moi ce ne
seront que des tendances, à savoir qu’elles seront amodiées en fonction des
intérêts des groupes économiques les plus influents et de l’idéologie qu’on
parviendra à nous vendre via les média. »
Je pense que vous ne m’avez pas
compris. L’article parle de « quatre changement majeurs ». J’y mets
un bémol. Pour moi ce ne seront que des tendances car ces changements devront être
agréés par les lobbies et être « vendus »à la population par les
média.
Pour le reste de vos observations,
je pense que nous sommes à peu près d’accord.
J’indique simplement, au delà de ce que vous
faites remarquer, qu’il faudra, en plus sortir de l’UE, sortir inévitablement de l’Euro, si nous voulons retrouver un élément de souveraineté
fondamental : la monnaie.