@pemile
Je suis vraiment navré de vous voir diffuser d’une manière aussi grotesque la propagande gouvernementale.
Chaque année la France constate le décès de + ou — 600.000 personnes. Les Français n’ont pas pour habitude d’avoir accès à ces chiffres de la mortalité. Et pourtant ils existent ! Environ 50.000 décès par mois !
« En 2018, il y a eu 609 648 décès en France (Outre mer inclus) — contre 606 274 en 2017 »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mortalité_en_France
Les décès induits par la grippe saisonnière, ou des virus saisonniers, intègrent ces chiffres. Quelle misère absolue de voir les médias dominants nous pondre des chiffres à longueur de confinement, sans jamais les mettre en perspective, jamais !
Que valent ces 24.000 morts du covid19 sur les 600.000 décès d’une année en France, sur les 50.000 mensuels ?
Alors, petit calcul rapide : 24.000 morts sur 4 mois = 6000 par mois. Est-ce que cette mortalité du covid19 sera « visible » dans les statiques de la mortalité 2020 ? Et bien non, il n’y a pas eu « assez » de morts pour valider cette théorie.
Lorsque l’on sait, maintenant, que le premier cas de malade du covid19 a été déclaré en France le 27 décembre 2019, on se dit que le confinement n’a servi à rien. D’ailleurs, il ne sert à rien puisque les décès du covid19 concernent, pour 93% d’entres eux, des personnes âgées de plus de 75 ans. Rares, très rares, sont les personnes âgées de moins de 50 ans qui décèderont du covid19.
Par ailleurs, 98% à 99 % des personnes décédées avaient au moins une maladie chronique !
Cette affaire de covid19 est une entreprise de « sidération » du Peuple, le confinement entraine, au plan psychologique, ce que le professeur Henri Laborit a qualifié du nom « d’inhibition de l’action ». Ce confinement imposé au Peuple français, en l’angoissant, en le sidérant, en provoquant des peurs injustifiées, pèsera sur les mentalités. La nature humaine est ainsi faite. Mais, évidemment, si vous parvenez à vous extraire de ce climat de terreur, les choses se présenteront d’une manière différente.
« Les conséquences pathologiques de cette inhibition de l’action permettront de comprendre comment le stress devient destructeur lorsqu’on ne peut agir, lorsque toute fuite est devenue impossible et qu’il ne reste plus qu’à subir passivement. On peut y voir un fondement biologique de notre besoin d’autonomie, voire d’une démocratie participative. Henri Laborit ne se privait pas de critiquer les hiérarchies au nom du stress qu’elles faisaient subir aux dominés, n’hésitant pas à tirer les conséquences politiques de la découverte de l’origine sociale des perturbations biochimiques, ce qui n’était pas du goût de l’époque ».
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