@arthes
Je ne suis pas restrictif, c’était une proposition d’ajustement à une formule. On peut évidemment interpréter Voltaire comme on veut. C’est la fin de « Candide », cette pauvre fille qui revient à la maison, après avoir perdu sa naiveré et qui finalement est un parallèle de Don Quichotte, dont la fin est la même. Il renonce à ses élucubrations
Le tour de la vanité et des expériences folles, le ramène à son jardin intérieur, et à son pré carré. Un classique dans la littérature. Un mouvement qui est un parallèle de la vie, et de la simple respiration, et un écho des livres sacrées. Il y a un temps pour chaque chose. Peut être bien qu’on doit abandonner nos rêves de don quichotte et nos voyages en toc, dans des pays qui le devienne tout autant, pour se rassembler sur l’essentiel, le pays, l’autonomie, loin des rêves déjantés, qui provoque la pollution et les ennuis qu’on sait.
Alinea parle de Reiser. Je me souviens très bien de cet album. Le comparatif, riches pauvres….« Quand les riches voyageaient c’était exotique, et chic...Quand les pauvres vont au bout du monde, c’est vulgaire et minable… » Déjà dans les années 70, on avait déjà tout anticipé, la bétise de la mondialisation, la vulgarité des nouveaux riches, la pollution, la catastrophe à venir….J’ai gardé quelques numéros du « sauvage », qui sont devenus des livres d’histoire des ces années là.