Diable, pourquoi parlez vous à la première personne du pluriel ?...C’est singulier.
La référence, évidemment, en matière de roman historique, c’est « Le nom de la rose », d’Umberto Ecco. J’envie ceux qui ont à découvrir ce roman.
J’ai lu avec délice aussi les romans historiques et policiers du juge Ti, de Van Gulik, dans la chine des ming.
Ceux d’Upfield, sur le bush Australien, avec son inspecteur médis, au nom de « Napoléon Bonaparte », Extraordinaire, et déjà écologique, bien qu’écrits entre les années 30 et 60
Sur le moyen âge, les petits chefs de d’œuvre de Paul Doherty, avec l’enquêteur Sir Corbett. Doherty s’est attaqué avec le même bonheur à l’Egypte ancienne.
J’espère donc que monsieur Le fur est à la hauteur de ces grands ainés. Mis à part Upfield, qui était un aventurier ayant fait tous les métiers, mais faisant œuvre d’ethnologie du continent australien, puisque chacun de ses romans se situe dans un état, et souvent aborde l’environnement, et les animaux, les autres auteurs sont des historiens.